KHROMACOUSMA
tératographie électronique & mutations audiovisuelles
performance audio-vidéo analogique (ni caméra ni ordinateur ni source en entrée) :
émergence de phénomènes à partir de signaux audio et vidéo interconnectés
Khromacousma – enregistrée lors de la soirée de lancement de la revue L’Autre Musique n°4
« Bruits » (Institut ACTE, Laboratoire Paris 1 Panthéon Sorbonne / CNRS)
présentation / fiche technique →
Big Bang Rémanence
Dispositif électronique de visibilité du rayonnement fossile
optique & acoustique : Joris Guibert
Big Bang rémanence est un film performé qui met en scène la formation de l’univers. Il se fonde sur un principe simple : le tube cathodique peut capter les photons résiduels de l’explosion du Big Bang, qui constituent une partie de la « neige » de l’écran.
Le dispositif de la performance est constitué d’un mini-plateau de tournage optique et électronique. L’appareillage vidéo permet la génération en temps réel d’images et de sons (aucune source préenregistrée). Le travail sonore est une expression du dispositif vidéo, par la captation des signaux hertziens et des champs électromagnétiques émis.
Une sculpture d’électrons, d’ondes
et de champs électromagnétiques
IMPROVISATION ELECTRIQUE
Centre d’art Sporobole – Canada
Génération en direct d’images et de sons créés à partir de phénomènes électroniques
>>>>>> AUTRES VIDEOS ///////
////////// PRESENTATION ///////
18 degrés sous l’horizon
partition électromagnétique pour tubes cathodiques
Duo vidéo Joris Guibert & Michel Machine
Génération & contrôle de flux audiovisuels
Meta-dispositif vidéo électronique [ transmission / rémanence / rétroaction ]
Performance audiovisuelle de phénomènes
électroniques / électromagnétiques / électroluminescents
générés en direct
>>>>>>>>> PRESSE /// PROPOS /// TECHNIQUE
Conte cosmogonique (2013)
Récit audiovisuel performé – vidéo & celluloïd
Visuel : Joris Guibert
Sonore : Ushdé
Tripoteca psychedelic film festival
Télé-Bocal, Paris 23/11/2013
NODUS (2011)
Extrait de performance visuelle/sonore (écran filmé)
Visuel : Joris Guibert
Sonore : Pierre-Yvan Blondet
Travail en temps réel de matières : images (diapositives, échantillons vidéo), flux électrique (larsen, câblage), et lumière des projecteurs.
Interconnexion des câbles son et vidéo : le son se transforme en image et l’image en son.
– Aucun ordinateur utilisé –
Aberration Chromatique (2010)
Rencontre entre Lionel Palun et Joris Guibert sur une problématique commune: le traitement du signal vidéo, et notamment le larsen (rétroaction optique ou électrique du signal). Confrontation entre technologie analogique et numérique : Lionel Palun retraite le signal vidéo par un logiciel qu’il a créé.
Figure des premières installations de l’art vidéo, le larsen utilisé ici en temps réel s’inscrit comme usage, c’est-à-dire écriture. Il questionne le medium vidéo qui génère une composition de formes sans aucune image-source; le son est aussi intégralement produit par le signal vidéo (traitement informatique et electronique). L’exploration, par l’improvisation de matière vidéo, des possibilités esthétiques infinies de l’electronique et de l’optique.